Blog - 2015 04 14

20150414

mardi 14 avril 2015

algérien (anecdotique) 

 

Bachir Hadjadj - Les Voleurs de rêves

 

Éthologie 

Il s'agit de l'histoire de Bachir Hadjadj et de sa famille depuis le départ des Turcs d'Algérie jusqu'à nos jours. 

C'est une généalogie où l'on ne tient compte que des hommes. Elle est historique mais non éthologique où chaque vivant a la même importance.

Des humains venus d'un territoire géographique qu'ils appellent "la France" occupent progressivement à partir de 1830 un territoire où vivent des Arabes et d'autres peuples. Les premiers ont atteint le Mode de Production Industriel et les seconds sont en plein dans le mode de production précédent - le Mode de Production Domestique ( agricole et pastorale).

Le premier est à l'origine des 7 milliards d'humains actuels, l'autre entre en déclin après avoir amené la population humaine à 300 millions. 

La concurrence pour les ressources de vie et les ressources de reproduction ( organisations des groupes) est excessivement favorable au Mode de Production Industriel. L'écart étant très important, de pacifique, cette concurrence devient cruelle. 

Contrairement au même phénomène qui se passe en Amérique du Nord avec l'arrivée des Européens face aux Amérindiens, la démographie des populations locales progressent fortement. C'est à dire que l'état éthologique arabe finit par surmonter l'agression de l'état éthologique venu d'Europe. 

En 1830, il y a 1,5 millions d'habitants en Algérie et 41 millions aujourd'hui. Au XIX° siècle, il y a entre 0,2 et 0,4 millions d'Européens sur ce territoire. Et aujourd'hui, quelques traces seulement. 

Quand deux groupes d'un mode de production différent entre en concurrence pour des ressources de vie et de reproduction, le plus avancé l'emporte sauf si la population du moins avancé est beaucoup plus importante. A terme, la population du mode de production précédent adopte le nouveau mode de production. L'Algérie est devenue un groupe (état éthologique) du Mode de Production Industriel. 

Copyright - GS

 

 

carmélite (anecdotique)

Christiane Rancé - La passion de Thérèse d'Avila

FC


Éthologie 

Thérèse d'Avila fait le mur de 16 ans à 18 ans pour aller voir son galant. Puis elle entre au couvent des Augustines où son amoureux vient lui rendre visite quelques temps encore.

Puis un jour, elle tombe amoureuse du Christ sur la croix. Elle devient abbesse et écrivaine.

Sa mère souffreteuse donne vie à neuf enfants. Sa sœur aînée est soumise à un mari autoritaire. Entrent au couvent les filles de bonne famille à qui on ne peut assurer de dots d'un niveau suffisant. Le couvent est moins exigeant et il vit également de dons, notamment de ceux des amoureux des filles conventuelles. 


Chaque humain comme chaque vivant végétal ou animal est en quête permanente de ressources de vie et de ressources de reproduction. Le prix à payer par Thérèse d'Avila c'est d'abandonner ses ressources de reproduction - se marier et avoir des enfants - au profit de ses ressources de vie - créer un couvent et écrire.


Au XVI° siècle en Espagne, les groupes humains sont organisés sur la base d'un fort dimorphisme sexuel: les mâles dominent les femelles, statistiquement. Dans d'autres groupes et à d'autres époques, une humaine peut se marier avec un humain plutôt qu'avec un être imaginaire tout en créant un couvent et en étant écrivain.

Copyright - GS

 

mardi 7 avril 2015

réchauffement (anecdotique)

Dans le cadre de la journée du développement durable de l’UMONS, le Conseil de Développement Durable Institutionnel de l’UMONS et l’Extension UMONS

ont eu le plaisir de vous inviter à écouter la conférence « Les enjeux du réchauffement climatique » présentée par Jean-Pascal van YPERSELE, Professeur ordinaire en climatologie à l’UCL et vice-président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat( G.I.E.C.)

Cette conférence a eu lieu le jeudi 2 avril 2015 à 18h30 en l’auditoire Van Gogh de l’UMONS 


Éthologie

Le GIEC analyse  tous les éléments délétères produits par l'humain et qui tôt ou tard provoquent l'augmentation de la température moyenne de la Terre et amenent toutes sortes de catastrophes pires les unes que les autres. Cela déplait à une société dont la croissance est un dogme fédérateur et mobilisateur. 

Afin de ne pas s'aliéner tous les humains, il ne s'aventure pas à prévoir combien d'humains vont disparaître. 


Mais pourquoi cette augmentation est impossible à endiguer? Pourquoi, ce qui est plus grave, elle ne peut l'être dans l'avenir?

Il suffit de jeter un coup d’œil sur la courbe démographique mondiale. Que s'est-il passé en 100 ans? En 1900, il y a 1,6 milliards d'humains et en 2000, 6 milliards soit quatre fois plus. La spécificité de la coopération des humains c'est qu'elle se développe de manière géométrique. 

1 personne trouve 1 ressource de vie
2 personnes en trouvent 4
3 en trouvent 9
4 en trouvent 16
5 en trouvent  25
et 6 en trouvent 36 etc ...



C'est à dire que la capacité des 6 milliards d'humains à trouver des ressources de vie est 36 fois plus importante que celles que trouvent 1 milliard d'humains avant 1900.


Ce mode de calcul est arbitraire et il n'a qu'une valeur démonstratif dans l'attente du vrai critère que le GIEC devrait créer.


Deux conséquences:


- Si nous voulons revenir à un état de l'environnement proche de 1900, il faut revenir à 1 milliard d'humains

- Si en 2050, il y a 8 milliards d'humains, ses ressources de vie sont multipliés par un coefficient de 64 par rapport à 1900. 

Conclusion

Les deux solutions sont inacceptables mais comme le problème est bien posé nous sommes plus près de la solution qu'avant.

Copyright - GS

 

Shakespeare (anecdotique)


Peter Ackroyd - Shakespeare

Éthologie

1) Au XVII° siècle, Londres passe de 150 à 200 000 habitants en partie grâce à Shakespeare  puisqu'à l'âge de 20 ans, en 1594, il quitte Stratford-upon-Avon pour la capitale. 


Cela signifie qu'à cette époque, les ressources de vie disponibles augmentent. 


Il trouve les siennes à écrire et représenter des pièces de théâtre. 


Les 200 000 habitants forment un grand nombre de groupes qui ont chacun leurs ressources de vie. Les groupes sont organisés en Dirigeants, Organisateurs et Opérateurs. Pour le théâtre, les Dirigeants sont en général des aristocrates. Shakespeare est un Organisateur. Les Opérateurs ce sont tous les ouvriers qui interviennent dans la construction des théâtres et leur fonctionnement au quotidien. 


Comme la population augmente, il y a de plus en plus de spectateurs. La concurrence est forte et parfois cruelle: il y a des rixes et parfois des morts. 


2)
Pourquoi la population humaine ne cesse d'augmenter globalement même si elle recule dans certaines régions au point de disparaître? En 1800, il y a 10 millions d'humains au Royaume Uni et 60 millions aujourd'hui. 


Il y a, d'abord, un raisonnement de base qui s'applique à tous les vivants. Si à certains endroits il y a beaucoup d'animaux ou de végétaux d'une espèce donnée, c'est parce qu'ils y trouvent tout ce dont ils ont besoin. 

Mais ce développement atteint des limites que l'on constate moins souvent chez les humains. La raison est en liée à son cerveau, sa sociabilité et ses mains.

Un animal cherche ses ressources et des ressources pour ses petits. Même s'il vit en grand groupe, un animal, et encore moins un végétal, n'apporte pas de ressources à son groupe mais tout au plus à ses petits. 

A Londres, les humains qui domestiquent des animaux et des végétaux apportent des ressources pour des humains comme Shakespeare. Puis les méthodes de domestication ne cessent de démultiplier les ressources que les humains en tirent. 

3)
Pourquoi n'y a t il pas de Shakespeare chez les animaux? 

Le groupe et la main ne cessent d'augmenter le nombre de neurones du cerveau des humains et le temps libre ne cesse de s'enrichir. Chez l'animal, il y a repos et attente. Chez les humains il y a des activités supplémentaires. 

L'humain a aujourd'hui environ 100 milliards de neurones. A l'époque où il en avait beaucoup moins, il était plus proche des autres animaux. Mais ce n'est qu'un animal dont le cerveau est devenu de plus en plus complexe. D'autant plus que les animaux non-humains ont développé d'autres complexités où ils sont bien supérieurs aux animaux. Si comme les humains, leur généalogie remonte à 2 milliards d'années, c'est qu'ils sont aussi adaptés qu'eux.

Il n'y a pas de Shakespeare chez les animaux mais il y a d'autres complexités inatteignables pas l'humain.  

Copyright - GS

 

samedi 4 avril 2015

tendresse (anecdotique)

ARTE

Tendresses animales
Les singes
Les lions


Éthologie.

Dans ces films documentaires, à l'exception des primates, il est plus souvent question d'accouplement et d'élevage des petits. 

On oublie l'humain car on estime qu'il ne fait pas partie du règne animal même si on l'enseigne dans les cours de sciences naturelles. Et l'on ne parle pas des végétaux alors qu'il faudrait y expliquer l'absence de tendresse. 

La tendresse ne concerne que les animaux parce que les végétaux n'ont pas besoin de sociabilité n'étant pas mobiles et leurs espèces ne se dévorant pas l'une l'autre. 

Chez les animaux, plus le cerveau est complexe c'est-à-dire plus il comporte de neurones plus l'élevage et la sociabilité sont étendues et générales. Cela va du rotifère à 200 neurones qui ne discerne que l'ombre et la lumière jusqu'à l'humain qui a aujourd'hui une grande influence sur l'atmosphère et le développement de la Terre. 

Chez l'humain il y a de la tendresse mais elle n'est qu'une forme de la sociabilité qui est à l'origine de son succès actuel. Il est question de 9 milliards d'humains en 2050. 


Mais il y a des conditions:
- L'explosion démographique doit être préservée car elle est à l'origine du "progrès" de l'humanité. Mais elle est également un problème: plus il y a d'humains plus ils ont besoin de ressources de vie et plus leur influence sur la Terre est importante.
- Pour leurs nouveaux besoins en ressources de vie, ils doivent créer rapidement des robots pour la colonisation du système solaire et péri solaire.
- D'un autre côté, les humains doivent supprimer tous les effets néfastes que leur activité génère. Sinon, ceux qui vivent sur des terres mortes viendront prendre les bonnes et il y aura de plus en plus de concurrence cruelle.

Copyright - GS

 

mardi 31 mars 2015

synapse ( à corriger)

Les synapses 

La synaptogenèse

Éthologie  

Exposé 1

Un humain comme tout vivant produit des synapses qui enregistrent dans son cerveau des comportements microscopiques semblables à des instructions élémentaires d'un programme informatique. 

Un programme informatique est créé par un humain. Un ensemble de synapses est "écrit" par l'humain pour lui même.


L'évolution du vivant vient dans le prolongement de l'évolution du non vivant. La programmation du non vivant débute avec le Bigbang. Une impulsion est donnée qui transforme le non vivant en auto-programmation et celle-ci se poursuit par la suite dans le vivant.


On part d'une situation de début de l'Univers où il y a un état que nous connaissons assez mal et à un moment apparait l'élément
hydrogène qui comporte un seul électron et un seul proton. Les lois de l'astrophysique met en place tous les éléments du Tableau Périodique des éléments. On sait que la force gravitationnelle en est l'origine. C'est elle qui agrège protons et électrons en des éléments de plus en plus lourds et de plus en plus instables pour certains d'entre eux. Ces éléments s'unissent pour créer des matières plus différentes les unes que les autres en organisations et en propriétés. 


Les organisations vivantes n'en sont qu'un sous-ensemble.


C'est la même impulsion qui déclenche le processus non-vivant et le processus vivant. 


Chez le vivant, l'ADN du noyau de la cellule comporte le programme d'un vivant donné. On peut donner une analogie de type science fiction. Supposons que les humains parviennent un jour à créer des robots capables non seulement de se reproduire mais aussi de s'améliorer. C'est ainsi que se passe la reproduction chez les vivants.  


Un gamète femelle fusionne avec un gamète mâle et c'est le départ d'une réaction en chaîne qui crée un vivant d'une espèce donnée: la première cellule se divise en deux et au fur et à mesure de cette multiplication, toutes les cellules futures se diversifient pour donner dans le cas de l'humain les 100 milliards de cellules qui composent 80 tissus différents nécessaires à son apparition, son développement, sa reproduction et sa disparition. 


Le vivant animal crée des synapses qui lui permette de se mouvoir et de trouver ses ressources de vie et de reproduction grâce à sa mobilité tandis que le vivant végétal développe de grandes quantités de feuilles, de racines et de fleurs qui assurent chez lui les fonctions de quête de ressources de vie et de reproduction. 


Il faut faire un sort à la "volonté" initiale qui est l'origine du tableau périodique des éléments et à l'évolution des vivants depuis 2 milliards d'années. 


La connaissance actuelle chez les humains de la complexité du non-vivant et du vivant élimine peu à peu la pensée de l'intervention d'un créateur divin. Les généticiens sont à l'aise tant que l'humain n'est pas né. Ils sont également à l'aise avec les non-humains. L'humain en gestation et les vivants sont soumis aux lois de la génétique. Mais cela se complique quand l'humain sort du ventre de sa mère. Il change de nature. Il devient un humain libre.


L'humain n'est qu'un non-vivant particulier. Mais il fait partie du processus des vivants. Et il ne faut pas le différencier des autres vivants sinon par ce qui fait son espèce. 


Il est un vivant hétérotrophe donc il est mobile et pour assurer sa mobilité, il a un cerveau. On peut laisser de côté les végétaux. Et si on le compare aux autres animaux, son génome est l'un des plus complexes de tous les vivants et son cerveau comporte beaucoup plus de neurones que l'espèce qui le suit à savoir le primate. 


De même que les lois qui s'appliquent à l'hydrogène qui comporte un seul électron et un seul proton sont les mêmes que celle qui s'appliquent à l'uranium qui en comporte 92, les lois du vivant animal sont les mêmes pour le rotifère qui a environ 100 neurones et l'humain qui en a 100 milliards. 


L'humain comporte donc un cerveau avec 100 milliards de neurones. Chaque neurone peut créer d'une à 15 000 liaison avec d'autres neurones. Dès le troisième ou quatrième mois de son apparition le fœtus produit entre 1 et 2 millions de liaisons à la minute que l'on appelle des synapses. Et cette production continue à ce niveau jusqu'à l'âge de 7 ans puis elle s'atténue sans cesser. 


A quoi sert-elle? Il suffit de voir ce que fait un bébé à sa naissance, à l'âge de sept ans, dans la force de l'âge et dans la vieillesse. Les humains qui dirigent le monde ont en général 50 à 60 ans. Et certains anciens se défendent bien même si la majorité décline fortement. 


Apprendre à vivre c'est créer des synapses. Chaque humain crée des synapses dans toutes les circonstances où il se trouve. Il n'y a pas déterminisme du vivant mais il y a un déterminisme de l'environnement. Les habitants des plaines ont des modes de vie différents des habitants des hautes montagnes. 


En conclusion.
Le modèle est simple. 
Les humains vivent en groupe. Selon leur âge, ils possèdent ( 1 million de synapses x nombre de minutes de vie). Un bébé de 1 mois en a pour un mois et une personne de 80 ans, pour 80 ans. 
Les humains sont parfois seuls et parfois en groupes. Quand ils sont seuls, les synapses se développent avec un environnement sans humain. Quand ils sont en groupes, les synapses les enregistrent chez chacun des humains selon la situation dans laquelle ils sont. 
Plus les humains en interaction sont différents ou sont moins présents, moins leur trace est importante. 
Dans une famille "normale", chaque membre crée un très grand nombre de synapses en interaction. Voilà pourquoi la famille "influence" fortement ses enfants. Et cela se compte en milliards de synapses. 
L'éducation d'un humain est le résultat des trilliard de synapses qu'il produit depuis son apparition jusqu'à sa disparition.

Exposé (2)

Chaque fusion d'un gamète femelle et d'un gamète mâle est une sorte de bigbang: une énergie indépendante explose qui mène le vivant de son apparition dans l'univers vers sa disparition aux travers de ses quêtes de ressources de vie et de reproduction. Chaque vivant a vocation à être infini et éternel. Son génome enregistre ses réussites et ses échecs et les cumulent par le processus de la réussite du mieux adapté. 

Les vivants terrestres apparaissent il y a 2 à 3 milliards d'années. 
Les espèces qui existent aujourd'hui sont celles dont les mutations apparues à chaque naissance leur ont permis de vivre et de donner la vie à des vivants adaptés à la situation de la somme des vivants et du non-vivant du moment. 
Le moustique, l'herbe, l'érable ou l'humain parmi les 8,7 millions d'autres espèces actuelles ont le même âge et ne sont pas moins adaptés les unes que les autres. 
Que l'humain estime être le roi voire le but de l'univers est normal: tous les vivants vivent dans ce même contexte.

Il y a une différence entre les végétaux et les animaux. Chez les végétaux qui sont des vivants immobiles tout est piloté par son génome tandis que chez les animaux, qui sont des vivants mobiles, le cerveau intervient pour gérer la mobilité. La complexité cerveau / génome des vivants animaux se retrouvent dans la complexité du génome des végétaux. 

Un humain - comme la plupart des vivants - se déploie à partir de la fusion de deux gamètes. Ces deux gamètes fournissent un nouveau génome, synthèse aléatoire de ses parents, et, où des mutations ont pu avoir lieu.

Au fur et à mesure du déploiement par la multiplication binaire des cellules à partir de la première cellule fondatrice aux 100 000 milliards dont se compose en moyenne un humain adulte, il y a une première phase qui crée le tissu nerveux qui se compose de neurones et une deuxième phase où ces neurones se relient les uns aux autres par des synapses. 

Tant qu'il est dans le ventre de sa mère ces synapses s'adaptent à l'environnement restreint où il se trouve et où l'essentiel est de passer d'un corps qui se compose d'une unique cellule à un corps qui en comporte 100 000 milliards de telle manière qu'il y ait une cohérence totale entre chacune d'elles. Ce ne sont pas 100 000 milliards de molécules de non-vivants mais un corps cohérent de 100 000 milliards de cellules vivantes. Voilà la différence fondamentale entre le vivant et le non vivant.

Un vivant est une unité cohérente qui se composent de 100 000 milliards de cellules elles-mêmes composées d'un nombre encore plus important de molécules de non-vivant. Tant que cette cohérence est préservée, le vivant ne disparaît pas. 

Les synapses qui relient les neurones dans le ventre de la mère ont pour finalité de constituer cette cohérence dans cet environnement. 

Vient un jour où le vivant apparît. Chaque espèce naît à un niveau d'adaptation qui est le sien. Chez certains, ils sont indépendants dès ce moment-là. C'est le cas d'un grand nombres d'insectes ou de poissons.

D'autres le sont moins et il le deviennent quand ils quittent leurs géniteurs. Les humains ont tendance à rester avec leurs géniteurs jusqu'à leur disparition. Ce sont des animaux sociaux, et la société proche prend très souvent la relève de la parenté et de la parentèle. 

Et cela correspond souvent aux animaux dont le génome comporte des millions et des milliers de millions de paires de bases. 

Les synapses continue à se développer jusqu'à l'âge de sept ans puis cela ralentit sans jamais s'arrêter. Que font-ils? A chaque instant ils assurent la cohérence globale du vivant à l'occasion du contact avec d'autres vivants et avec le non-vivant. En fait il enregistre l’apprentissage permanent. Au premier contact, il y a une première solution. Dans les contacts suivants, les solutions sont plus sophistiquées et plus adaptées. Au début, il y a en général une forte proximité entre les parents et les enfants. A raison de 1 à 2 millions de synapses à la minute, ce sont des interactions de 1/1 000 000 à 1/2 000 000 de minutes qui sont prises en compte. Le comportement éducatif ou le discours éducatif jouent un rôle secondaire. C'est tout l'être des parents qui s'inscrit dans le cerveau de l'enfant: l'inexprimé ou l'inconscient sont totalement dominants. Il faut noter que les synapses des parents continuent également à se développer. Par conséquent l'empreinte des enfants sur eux est également importante. 

C'est une vision qui ne plait pas aux tenants de l'égalité des chances qui souhaitent qu'une majorité d' Opérateurs deviennent Dirigeants. Les réponses sont les suivantes:

- nulle part chez les animaux sociaux il n'y a d'armées mexicaines où il y a plus de généraux payés comme de généraux que de soldats payés comme des soldats.
- quelque soit leur situation sociale, il y autant d'humains heureux à tous les niveaux de la société.
- tous les humains sont en concurrence entre eux. Quand une situation est insoutenable, la concurrence devient cruelle: ou bien la réorganisation de la société est possible ou bien elle n'est pas possible. Quand elle n'est pas possible, cela signifie qu'il n y a plus suffisamment de ressources de vie pour un si grand nombre d'humains. 

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